Avez vous déjà été en face à face avec une tornade ?

mercredi 8 décembre 2010

Le CUMULONIMBUS

Le cumulonimbus, de la famille des cumulus, est le nuage qui présente la plus grande extension verticale. Sa base se situe en général de quelques centaines de mètres à 2 000 mètres du sol. Son sommet dépasse parfois la tropopause; il peut donc culminer à des altitudes allant de 8 000 à 18 000 mètres . En fin d'évolution, sa partie supérieure ressemble à une enculume, et l'on parle alors de cumulonimbus capillatus, par opposition au cumulonimbus calvus (étape de transition entre le cumulus congestus, et le cumulonimbus capillatus). Par extension, l'expression « enclume du Cb » désigne généralement sa partie supérieure qui persiste souvent après la perte d'activité du nuage. Cette enclume devient alors un cirrus spissatus cumulonimbogenitus (cirrus épais né d'un cumulonimbus). Le cumulonimbus est souvent associé à des phénomènes violents comme les TORNADES, les rafales descendantes et la GRELE.

Definition du texte :
TORNADES  = Voir le dernier CHAPITRE
GRELE = Voir CHAPITRE 2

jeudi 30 septembre 2010

CHAPITRE 2 : Le TEMPS

Salut à tous !
et bien oui, ont commence donc aujourd'hui un nouveau chapitre qui s'appelle donc : le temps.
Alors je vais être franche avec vous, euh [...] ...
Il n'y a pas vraiment beaucoup d'article (contrairement au prochain que vous allez voir)

                                        Dans ce chapitre il y aura : L'orage, la pluie, la grêle et la neige (je crois !!!)
Bon je vous laisse tranquille, je vais juste vous souhaiter  un super chapitre et a +

mercredi 29 septembre 2010

La NEIGE

La neige est une forme de précipitation, constituée de glace cristalliser et agglomérée en flocons pouvant être ramifiés d'une infinité de façons. Puisque les flocons sont composés de petites particule, ils peuvent avoir aussi bien une structure ouverte et donc légère qu'un aspect plus compact voisin de celui de la grêle. La neige se forme généralement par la condensation de la vapeur d'eau dans les hautes couches de l'atmosphère et tombe ensuite plus ou moins vite à terre selon sa structure.
Les canons à neige produisent de la neige artificielle, en réalité de minuscules grains proches de la neige fondue. Cette technique est utilisée sur les piste de ski intérieur, mais aussi dans les piste de sport d'hiver pour améliorer l'état des pistes.
Des études récentes ont montré que certaines bactéries (dites glaçogènes) jouent un rôle important dans la formation des cristaux de glace ou de neige. Ces bactéries sont normalement épiphytes (pseudomas sp. par exemple) mais peuvent parfois être pathogènes. Elles sont identifiées dans de nombreux échantillons de neige en France, en Amérique du Nord et en Antarctique.

La GRELE

La grêle est un type de précipitations qui se forme dans des orages particulièrement forts lorsque l'air est très humide et que les courants ascendants sont puissants. Elle prend la forme de billes de glace (grêlons) dont le diamètre peut varier de quelques millimètres à une dizaine de centimètres.

Définition plus Spécial :
La Grêle est une pluie venu d'un gros orage. Et quand l'air est très froid, cette pluie se transforme en glace. Qui retombe donc sur le sol.

mardi 28 septembre 2010

La PLUIE

La pluie désigne généralement une précipitation d'eau à l'état liquide tombant de nuage vers le sol. Il s'agit d'un hydrométéore météorologique qui fait partie du cycle d'eau. La pluie se forme à partir de la condensation de la vapeur d'eau qui a été évaporée par le Soleil, s'est condensée dans le nuage par le refroidissement adiabatique dû au mouvement ascendant de l'air. On parle de pluie chaude quand les gouttes de pluie se sont entièrement formées dans un nuage au-dessus du point de congélation et de pluie froide quand elles sont le résultat de la fonte de flocons de neige quand l'air passe au-dessus de zéro degré Celsius en altitude.

La FOUDRE

La foudre est un phénomène naturel de décharge éléctrostatique disruptive qui se produit lorsque de l'électricité statique s'accumule entre des nuages d'orage ou entre un tel nuage et la terre. La différence de potentiel éclectique entre les deux points peut aller jusqu'à 100 millions de volts et produit un plasma lors de la décharge, causant une expansion explosive de l'air par dégagement de chaleur. En se dissipant, ce plasma crée un éclair de lumière et le tonnerre.
La foudre a tendance à frapper les régions de haute altitude et les objets proéminents. Le tonnerre peut résonner d'un craquement sec lorsque l'éclair est proche ou gronder au loin. Comme la lumière voyage plus vite que le son, l'éclair est visible avant que le tonnerre ne soit audible.

CHAPITRE 3 : Les CATASTROPHES NATURELLE

Salut à tous, dans ce chapitre des : Catastrophes naturelle, vous allez trouver des articles sur : les tsunami, les tornades, les séismes, les avalanches, les inondations, etc ...
Mais, il y a des article de envir. 50 lignes de définition (ou aussi dit : article) !!!
Bon je vous laisse finir de parcourir le blog avec des  documentation assez surprenante !!!!!.
Attention, les définition :
                    envir  =    Se mot que je vais dire : "bizarre" [...] est simplement l'abrégé de : (environ) !

lundi 27 septembre 2010

La SECHERESSE

La sécheresse (ou sècheresse) est l'état (normal ou passager) du sol et/ou d'un environnement, correspondant à un manque d'eau, sur une période significativement longue pour qu'elle ait des impacts sur la flore naturelle ou cultivée;
- ce « déficit hydrique » est épisodiquement naturel (par exemples, périodes glaciaires/interglaciaires, cycles El Niño / El Niña, etc. et peut être amplifié par l'émission humaine de gaz à effet de serre).
- il fait suite à un déficit pluviométrique inexpliqué, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air.
- il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols ( l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification anthropomorphique accélérée), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs...)
La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnés de troubles sociaux puis de conflits armés, notamment dans les régions avec peu de ressources économiques.
La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau pour l'homme, son agriculture et son bétail et certains usages de luxe (piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture, etc .). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés.

samedi 25 septembre 2010

Les CYCLONES TROPICAUX

En météorologie, un cyclone tropical est un type de cyclone (dépression) qui prend forme dans les océans de la zone intertropical à partir d'une perturbation qui s'organise en dépression tropicale puis en tempête. Son stade final est connu sous divers noms à travers le monde : ouragan dans l'Atlantique Nord et le Pacifique Nord-Est, typhon dans le Pacifique Nord-Ouest et simplement cyclone ailleurs.
Structurellement, un cyclone tropical est une large zone de nuages orageux en rotation accompagnée de vents forts. On peut les classer dans la catégorie des Systèmes convectifs de méso-échelle puisqu'ils ont un diamètre inférieur à une dépression classique, dite synoptique, et que leur source d'énergie principale est le dégagement de chaleur latente causé par la condensation de vapeur d'eau en altitude dans leurs orages. On peut ainsi considérer le cyclone tropical comme une machine thermique, au sens de la thermodynamique. Le dégagement de chaleur latente dans les niveaux supérieurs de la tempête élève la température à l'intérieur du cyclone de 15 à 20 °C au-dessus de la température ambiante dans la trosophère à l'extérieur du cyclone. Pour cette raison, on dit des cyclones tropicaux qu'ils sont des tempêtes à « noyau chaud ».
Les cyclones tropicaux sont redoutés par les populations en raison de leur capacité de destruction : pluies torrentielles, inondations côtières et vents violents. Ils sont classés parmi les risques naturels les plus courants et font chaque année des milliers de victimes. Les régions les plus menacées ont mis en place des mesures de surveillance météorologique, sous la coordination de l'Organisation météorologique mondiale, ainsi que des programmes de recherche et de prévision du déplacement des cyclones.

thermodynamique : ... Sens du mot, non trouver

vendredi 24 septembre 2010

Les INONDATIONS :

Une inondation est un débordement d'un cours d'eau, le plus souvent en crue, qui submerge les terrains voisins. Le terme est souvent étendu aux débordements d'ouvrages artificiels tels que retenues ou réseaux d'assainissement. Des inondations peuvent aussi se produire en amont des cours d'eau, suite à la génération de quantités importantes de ruissellement au niveau de terres cultivées par exemple. Ce ruissellement donne alors lieu à une inondation boueuse.
Selon l'Institut international de l'eau de Stockhoml (SIWI), pour la période 1996-2005, environ 80 % des catastrophes naturelles étaient d'origine météorologique ou hydraulique, et les inondations auraient lors de cette décennie affecté en moyenne 66 millions de personnes par an entre 1973 et 1997. Ce sont les catastrophes naturelles qui produisent le plus de dégâts.

jeudi 23 septembre 2010

Les TEMPETES DE SABLE :

Une tempête de sable est un phénomène météorologique qui se manifeste par des vents violents provoquant la déflation et le transport des particules de sables dans l'atmosphère, par le processus de saltation, voire par suspension pour les sables fins. Les tempêtes de poussières sont similaires mais le substrat soulevé est le sol déséché.
Ces phénomènes sont courants dans les grandes plaines d'Amérique du Nord, dans la péninsule Arabique, dans le désert de Gobi en Mongolie, dans le désert du Taklamakan en Chine occidentale, dans le désert du Sahara en Afrique, dans le désert Thar en Inde, ainsi que dans d'autres régions arides et semi-désertiques.

Les ERUPTIONS VOLCANIQUES :

Une éruption volcanique est un phénomène géologique caractérisé par l'émission de laves et/ou de téphras par un volcan. Lorsqu'une éruption volcanique provoque des dégâts matériels et des morts parmi l'espèce humaine mais aussi chez d'autres espèces animales ou végétales ce qui est la majorité des cas, ce phénomène constitue une catastrophe naturelle ayant un impact local à mondial et pouvant bouleverser les habitudes animales, humaines, la topographie, etc.

mercredi 22 septembre 2010

Les TSUNAMI

Un tsunami ou raz-de-marée est une onde provoquée par un mouvement rapide d'un grand volume d'eau (océan ou mer). Ce mouvement est en général dû à un séisme, une éruption volcanique sous-marine de type explosif ou bien un glissement de terrain sous-marin ou aérien (type rock-slide) de grande ampleur. Un impact météorithique peut aussi en être la cause, de même qu'une explosion atomique sous-marine.
Bien que les tsunamis puissent atteindre une vitesse de 800 km/h quand le fond de l'océan est profond, ils sont imperceptibles au large, car leur amplitude y dépasse rarement le mètre pour une période (temps entre deux vagues successives) de plusieurs minutes à plusieurs heures. Ils peuvent toutefois provoquer d'énormes dégâts sur les côtes où ils se manifestent par :
  • une baisse du niveau de l'eau et un recul de la mer dans les quelques minutes qui les précèdent;
  • et/ou une élévation rapide du niveau des eaux pouvant atteindre 60 mètres provoquant un courant puissant capable de pénétrer profondément à l'intérieur des terres lorsque le relief est adéquat (plat).
Dans certains cas assez rares, le tsunami peut prendre la forme d'une vague déferlante ou, sur un fleuve, d'un mascaret. 75 % des tsunamis se produisent dans l'océan Pacifique et la plupart des autres sont observés dans l’océan Indien, en raison de la forte activité tectonique sur le pourtour de ces deux océans.
En fonction de l'intensité de l'action mécanique qui les génère et de la géométrie de l'océan, ils peuvent se propager sur des milliers de kilomètres et peuvent toucher plusieurs continents, dans des zones où le séisme ou l'éruption volcanique n'ont pas été ressentis; on parlera alors de télé-tsunami ou tsunami transocéanique.

Les TORNADES :

Une tornade (de l'espagnol tornado, dérivé du verbe tornar, tourner) est un vortex (tourbillon) de vent extrêmement violents, prenant naissance à la base d'un nuage d'orange (cumulonimbus) lorsque les conditions de cisaillement de vent sont favorables dans la basse atmosphère. De très faibles tornades peuvent également se développer sous des nuages d'averse (cumulus bourgeonnant).
Ce phénomène météorologique a un pouvoir destructeur supérieur à celui d'un cyclone tropical au mètres carré, mais est de durée et d'étendue limitées : il concerne un corridor de quelques centaines de mètres de large sur quelques kilomètres de long. Certaines tornades ont engendré les vents les plus forts signalés à la surface du globe. Elles tuent chaque année de 300 à 400 personnes (selon une estimation de l'Organisation météorologique mondiale), dont 150 aux États-Unis.

Le CYCLONE

Un cyclone (du grec kyklos, cercle) est un terme météorologique qui désigne une grande zone où l'air atmosphérique est en rotation autour d'un centre de basse pression local. On parle également de dépression et de système cyclonique. Par extension, la circulation cyclonique est la direction que prendra le flux d'air autour d'une dépression ou d'un creux barométrique, soit anti-horaire dans l'hémisphère nord et horaire dans celui du sud. Même si toute dépression peut être appelée un cyclone, ce terme est le plus souvent réservé à certains types particuliers de systèmes qui se forment au-dessus des eaux chaudes des mers tropicales, les Cyclones tropicaux. On applique également le suffixe cyclone à certains phénomènes de très petites échelles où une rotation se produit.

Séisme (Tremblement de terre) :

Un séisme, ou tremblement de terre, résulte de la libération brusque d'énergie accumulée par les contraintes exercées sur les roches. Le résultat de la rupture des roches en surface s'appelle une faille. Le lieu de la rupture des roches en profondeurs se nomme le foyer. Plus rares sont les séismes dus à l'activité volcanique ou d'origine artificielle (explosions par exemple). Il se produit de très nombreux séismes tous les jours, mais la plupart ne sont pas ressentis par les humains. Environ cent mille séismes sont enregistrés par an sur la planète grâce à des sismographes(appareils permettant de détecter les ondes sismiques à plus de milliers de kilomètres du foyer sismique). Les plus puissants d'entre eux comptent parmi les catastrophes naturelles les plus destructrices.
La sciences qui étudie ces phénomènes est la sismologie et l'instrument d'étude principal est le sismographe.

A retenir : le plus gros séisme des année 2000 était à haïti le 12/01/10 ayant fait + de 530 000 mort, et +de 230 000 blessés (dont plein d'enfants).

Les trombines marine (Tornade au dessus de l'eau) :

Les tornades ont depuis longtemps défrayé la chronique et certaines ont été retenues par l'Histoire, même avant d'être appelées de ce nom. Par exemple, Grégoire Tour décrit un événement survenu dans la vallée de la Loire au VI ème siècle qui semble correspondre au phénomène : « le vent du midi souffla sur le pays avec tant de violence qu’il renversa les forêts, abattit les maisons, arracha les haies, et fit périr des hommes même enlevés dans un tourbillon qui parcourut en largeur un espace de près de sept arpents. On n’a pu savoir ni estimer jusqu’où s’était prolongé son passage ».
Une tornade se développe près du courant ascendant d'un orage se trouvant dans un environnement où les vents dans les premiers kilomètres de l'atmosphère changent non seulement de force, mais également de direction avec l'altitude. Les orages supercellulaires sont le plus souvent associés à des tornades en raison de la configuration particulièrement bien cisaillée des vents autour de ces derniers. Cependant, les vents descendants de ligne de grain ou les fronts de rafales entre les cellules d'orages multicellulaires peuvent aussi interagir pour en produire. Il arrive même parfois que de faibles tornades se développent dans le courant ascendant d'un  cumulus bourgeonnant. Les cyclones tropicaux, où l'on retrouve des orages, sont également accompagnés de tornades lorsqu'ils entrent sur terre.
On parle de tornade si l'air en rotation entre en contact avec la terre ferme ; lorsque le phénomène ne touche pas le sol, on parle simplement d'un entonnoir nuageux. Lors d'un contact sur l'eau plutôt que sur le sol, on parle alors de Trombine Marine. Lorsque l'on observe des trombes marines se former en l'absence de nuages de convection, il s'agit d'un phénomène similaire à un tourbillon de poussière sur la terre ferme.
La vitesse de déplacement d'une tornade qui touche le sol est très variable mais peut atteindre occasionnellement 100 km\h. L’entonnoir se déplace de façon sinueuse, généralement du sud-ouest vers le nord-est (hémisphère nord), mais peut changer de direction de façon soudaine.

Coulée de boue

La coulée de boue est le plus rapide (jusqu'à 80 km/h) et le plus fluide des différents types de mouvements de terrain. Elle est composée d'au minimum 30% d'eau et 50% de limons, vases et autres matériaux argileux. Il convient de ne pas la confondre avec une inondation boueuse.
Les coulées de boue se forment souvent sur des versants et se constituent en cours d'eau à régime torrentiel. La puissance destructrice de certaines d'entre-elles permet une comparaison avec les avalanches.
Ce phénomène hydrologique se manifeste en particulier dans les régions arides et semi-arides où l'on peut observer de longues périodes de sécheresse suivies d'averses inattendues et torrentielles. Ces dernières hydratent si brutalement les sols, fortement desséchés, qu'ils s'effritent et font grossir ces cours d'eau temporaires. Il s'agit alors d'un phénomène de solifluxion.

Avalanche :

Avalanche de neige coulante 

Il s'agit de la forme d'écoulement par défaut des avalanches, qui peut donc concerner tout type de neige. Ces avalanches constituent un écoulement granulaire de neige, qui se comporte alors comme un fluide à seuil. Leur frottement interne, qui conditionne leur capacité à s'écouler sur des pentes très faibles, varie grandement en fonction de la qualité de la neige mobilisée : en premier lieu, la teneur en eau liquide (plus importante dans les neiges en cours de fonte) augmente le frottement interne.
Ces avalanches peuvent causer d'importants dégâts aux bâtiments du fait des masses de neige en mouvement, malgré leur vitesse parfois faible. Leur trajectoire suit la ligne de plus grande pente, mais n'est pas pour autant très facile à prévoir, car un dépôt d'une précédente avalanche peut suffire pour les dévier.

Avez vous déjà vécu un séisme (de petite ou grande magnitude) ?